vendredi 21 octobre 2011

FESTIVAL DE CINE INTERNACIONAL DE MORELIA



Tous les ans Morelia accueille son festival de cinéma international, 
et bien entendu les artistes venant faire la promotion de leur film.

Hannah et moi nous sommes attardées sur les programmes de cours métrages.
Tout d’abord à la Casa Natal de los Morelos pour assister à des documentaires 
sur le Mexique :


   - Réquiem para la eternidad, Alberto Resendiz Gómez (atteint d’un cancer, il fait la rétrospective en image de ce jour 
où il a appris la mauvaise nouvelle)
   - Caracol, Emilio Belin Sandoval ( réflexion sur la consommation de l’eau au Mexique)
   - Días distintos, David Castañón Medina (documentaire sur un ancien champion de boxe mexicain)
   - Una reina a su gusto, Maya Goded (reportage très drôle sur les jeunes filles des pueblos participant à des élections de Miss)
   - Estela, Martha Uc. (l’histoire d’une famille venant d’un pueblito, transmissions des valeurs, des traditions, 
comment arrivent ils à s’en sortir)
   - Lánzate sin mirar, Stephane Goldsand (traite des doutes de la paternité, de tous les questionnements que l’on se pose avant de devenir parent)



Ensuite, nous avons assisté à une conférence traitant des Affiches de Cinéma Mexicaines, 
à l'occasion de la sortie du livre ¡HOY GRANDIOSO ESTRENO! 

Pour finir, eh oui mesdames et messieurs, nous avons eu l'immense bonheur et privilège de rencontrer el famoso y guapissimo (je m'emballe) Gael Garcia Bernal. 

Il était présent dans le but de présenter sa dernière série de cours métrages "Los Invisibles", en co-réalisation avec Marc Silver. Le sujet traitant de l'immigration mexicaine vers les Etats Unis. Un documentaire saisissant avec des témoignages, et de magnifiques images. En attendant de trouver une version française, n'hésitez surtout pas à regarder la première partie (ci dessous) en version originale.

 




mercredi 12 octobre 2011

REAL DE CATORCE

Real de Catorce c’est l’histoire d’un pueblo perché à 2750m d’altitude, à la frontière du désert de San Luis Potosi. Après avoir été brûlé et abandonné pendant près d’un siècle, ce village colonial a été peu à peu réhabilité il y a une dizaine d ‘année. Son seul accès à présent est un tunnel creusé dans la montagne, suivant les traces d’un ancien chemin minier.


Il s’avère que ce voyage nous l’avons fait à une vingtaine et qu’il y a à présent de quoi raconter notre histoire.
Tout a commencé par une randonnée pour atteindre le pueblo fantasma accroché au flanc de la montagne voisine… on a tous cru mourir, mais le paysage en valait bien la peine. 



Le lendemain s'était ambiance safari pour aller jusqu'au désert de San Luis. La route était traumatisante, le paysage envoutant, et le trajet sur les toits des deux Jeep inoubliable. On y a goûté « El Peyote » fameux petit cactus hallucinogène, que les Amérindiens mangeaient à l’époque pour invoquer les dieux, sous forme de cérémonie. Bon pour notre part on a attendu un minime effet d’hallucination… mais il n’est jamais venu ! On a terminé le séjour par la visite d’une mine désaffectée envahie par les cactus.
Pas besoin de dire que le séjour s’est ponctué de fiestas mexicaines, mais se sont des informations qui sont restées à Real de Catorce…




CATEDRAL DE MORELIA


La cathédrale de Morelia est la plus grande fierté de los Morelianos. C’est d’ailleurs grâce à cet édifice de style baroque que la ville a été reconnue patrimoine mondial de l’UNESCO. Elle est située au centre de la ville sur la grande avenue de la Madero et est reconnaissable de très loin. Tous les samedis soir les gens s’installent sur les grands jardins qui l’entourent pour admirer le feu d’artifice hebdomadaire.
Anecdote : une norme architecturale dit qu'aucun bâtiment 
ne peut dépasser cette dernière!




dimanche 2 octobre 2011

DANZA DE LOS VIEJITOS


Cela signifie "Danse des Petits Vieux".
Il s'agit d'une danse traditionnelle du Michoacan dédiée aux Dieux, durant laquelle les danseurs arborent des tenues traditionnelles toutes blanches et brodées, ainsi que des masques assez étranges. Ils sont fait de pâtes, de sucre de canne et de maïs, puis peint de la couleur de la peau bien rosée.

MEXICO D.F.

Mexico c'est grand, c'est bruyant, c'est pollué, et ne parlons même pas de la densité.
Mais passer trois jours au coeur de ce géant fait tout de même changer d'avis. 
Comme dans toutes capitales, on trouve buildings, métros bondés (avis parisiens mécontents : aller faire un tour dans celui de Mexico), grands boulevards, et enseignes multinationales. Et il y a aussi les bons côtés, comme les parcs, les galeries, les grands événements, et les petites rues bourrées de charmes. 
C'est en effet, ce qui a rythmé notre weekend.
Casa azul de Frida Kahlo, quartier du Coyoacan, ce qui fait sa réputation c'est sa grande place, son marché artisanal (artisanal ou presque), ses rues colorées de bars et de boutiques, le quartier de la Condesa, haut lieu de la fête, match de Lucha Libre, galerie de design Vertigo, et j'en passe...


VIERNES


SABADO